
Portrait de l'artiste
Correspondances
Lettres de Maurice Silvy, architecte
Dans le 1er contenu de Dropbox, il y avait des lettres d'amis. Dans celles de Maurice Silvy, j'ai 2 pages à l'écriture bleu turquoise qui ne semblent pas aller avec le reste.Si on peut recomposer une 4ème lettre, on peut la placer ici.Sinon, pourquoi ne pas remplir...
Lettres de D. Hamot, photographe
Lettre d’E. Dexheimer, architecte
Poème posthume, Tanguy Paschal, jeune ami
Quand les pinceaux furent posés Quand les voyages furent achevés Quand la pipe eut laissé refroidir son miel La grande maison cessa de craquer Et la nuit enveloppa Zer Ce n'était pas une nuit noire C’était une nuit piquée d’étoiles Dans les bleus ondoyants d’un ciel...
Poème posthume son neveu Erick Jonquière
tu es celui de peu la nuit n'a plus qu'un dos non dit de grand chemin ma gloriette de mots ceux là qui vont par deux comme un premier dimanche et nos baisers qui poussent regarde ici ce bleu que tu recouvres encore d'une écume cent fois la toile sur la planche qui...
Mot posthume, sa nièce Mathilde Jonquière mosaïste
Oncle Zer, Je me souviens, lorsque j’étais petite tu m’as offert une de tes aquarelles à Domont, un bateau qui ressemblait à ceux de papa qui l’emmenait si loin lors de ses voyages. Extrêmement touchée, parce que je n’étais qu’une enfant, je scrutais ce bateau dans...
Mot posthume, sa fille Séverine
Avant tout un grand merci à tous d’être venus, parfois de loin, rendre un dernier hommage à Emmanuel. C’est une belle assemblée que nous avons là, et qui montre à quel point il était apprécié. Ces deux dernières années de maladie, Emmanuel les a passé entouré de...
Souvenirs d’enfance du frère aîné, Philippe Jonquière
Pourquoi Zer ? Parce que petit si il y en avait un pour attirer les catastrophes, c'était lui ! Le manche du râteau dans les dents, Chute et menton ouvert lors de glissade les mains dans les poches sur la mare gelée, Carreau de fenêtre cassé en shootant dans le ballon...
Souvenirs d’enfance du petit frère Bernard- Chon
Voici quelques souvenirs confus sur notre enfance avec Zer. Nous quittons Arras en 1939, par le dernier train disponible, direction le midi, avec escale à Paris, comme de vrais réfugiés. Dans le midi première escale à Mirepoix, pendant six mois chez notre Grand-Mère...